Le Nasty Terrible T-KID 170 est l’autobiographie de l’écrivain de graffiti Julius Cavero alias T-KID 170. Cette autobiographie raconte la vie d’un membre d’un gang, devenu graffeur et mentor de style pour les jeunes urbains, une histoire non censurée du Bronx Hip Hop. Au cours d’une fusillade dans un parc local, Julius Cavero a subi trois tirs à la jambe, l’un coupant presque sa principale artère, laissé pour mort par des rivaux de gangs et des soi-disant camarades. T-Kid a survécu à l’épreuve pour se retrouver face à face avec 3 semaines d’interventions chirurgicales intensives. Au cours de ces trois semaines, Julius Cavero a dessiné sans fin. C’est alors qu’il a choisi de devenir T-KID 170 T pour le look grand et maigre qu’il avait, et KID juste parce que c’est ainsi que tant de gens l’appelaient. À ce moment, Julius Cavero a abandonné la vie de gang pour une nouvelle vocation. T-Kid se concentrerait désormais sur l’art, en particulier le street art: GRAFFITTI. Le Nasty Terrible T-KID 170 retrace sa vie du début des années 1960 à 2005 à travers ses récits écrits et ses illustrations, y compris des images de trains peints, des murs, des toiles, des dessins et des croquis produits au cours des trente dernières années. Peu d’artistes aujourd’hui peuvent raconter une histoire comme celle de T-KID, une enfance de ghetto, des gangbangs et des exploits audacieux de graffitis. Beaucoup de ceux qui vivaient à cette époque ont abandonné leur vie ou leur art. T-KID, qui a gagné la renommée dès le début, vit pour raconter l’histoire et a résisté à l’épreuve du temps.
DE MEMBRE GANG À MENTOR DE STYLE POUR LES JEUNES URBAINS, CECI EST L’HISTOIRE DE BRONX HIP HOP NON CENSURÉE D’UNE ICÔNE GRAFFITI INIMITABLE ET INFAMOUS. Après avoir été abattu de trois balles à l’âge de 16 ans lors d’une bataille de gangs, T-KID s’est retrouvé à l’hôpital avec peu de chose à faire mais dessiner… et il l’a fait sans fin. C’est durant ces semaines qu’il devient T-KID 170, artiste et voix du monde urbain dans lequel il est né. Peu d’artistes aujourd’hui peuvent raconter une histoire comme celle de T-KID -une enfance de ghetto, des gangbangs et des exploits audacieux de graffitis. Trop de gens du même quartier ont laissé leur vie ou leur art derrière eux, mais T-KID, qui a acquis une renommée précoce, a vécu pour raconter l’histoire et a résisté à l’épreuve du temps. LE NASTY «TERRIBLE» T-KID 170 retrace sa viedu début des années 60 à 2005 à travers ses comptes-rendus écrits et sesillustrations et comprend des images de trains peints, de murs, de toiles, dedessins et de croquis produits au cours des 30 dernières années. Voyage à travers une vie, une époque et le South Bronx, LE NASTY «TERRIBLE» T-KID 170 montre les contributions de T-KID au mouvement des graffitis et son rôle dans les origines difficiles et chaotiques du hip hop.
English: The Nasty Terrible T-KID 170 is the autobiography of graffiti writer Julius Cavero aka T-KID 170. This autobiography chronicles the life of a gang member, turned graffiti artist and style mentor for urban youth an uncensored Bronx Hip Hop story. During a gang shoot-out in a local park, Julius Cavero suffered three shots to the leg, one nearly severing his major artery, left for dead by gang rivals and so-called comrades. T-Kid survived the ordeal only to come face-to-face with 3 weeks of intensive surgical procedures. In those three weeks, Julius Cavero sketched, endlessly. It was then that he chose to become T-KID 170 T for the tall and skinny look he had, and KID just because that s what so many people called him. At that moment, Julius Cavero gave up gang life for a new vocation. T-Kid would now focus on art, specifically street art: GRAFFITTI. The Nasty Terrible T-KID 170 retraces his life from the early 1960s to 2005 through his written accounts and artwork, including images of painted trains, walls, canvases, drawings, and sketches produced over the last thirty years. Few artists today can tell a tale like T-KID s a ghetto childhood, gangbanging, and daring feats of graffiti. Many who lived in such times either left their lives or their art behind. T-KID, who won fame early on, lives to tell the tale and withstood the test of time.
FROM GANG MEMBER TO STYLE MENTOR FOR URBAN YOUTH, THIS IS THE UNCENSORED BRONX HIP HOP STORY OF AN INIMITABLE AND INFAMOUS GRAFFITI ICON. After being shot three times at the age of 16 during a gang battle, T-KID found himself in hospital with little to do but draw…and he did so endlessly. It was during these weeks that he became T-KID 170, artist and voice for the urban world to which he was born. Few artists today can tell a tale like T-KID’s – a ghetto childhood, gangbanging and daring feats of graffiti. Too many others from the same neighbourhood left their lives, or their, art behind, but T-KID, who won fame early on, lived to tell the tale and withstood the test of time. THE NASTY “TERRIBLE” T-KID 170 traces his life from the early 60s to 2005 through his written accounts and artwork and includes images of painted trains, walls, canvases, drawings and sketches produced over the last 30 years. A journey through a life, an era and the South Bronx, THE NASTY “TERRIBLE” T-KID 170 displays T-KID’s contributions to the graffiti movement and his role in the difficult and chaotic origins of hip hop
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